I don't know if you rememebr that I said I had found an article on WCM which said that it was a gay movie; here it is ! It's in french, sorry, I hope you will understand...
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J'ai vu un navet au Palace à 2,50$, le prix d'un navet. Ce navet de Wing Commander, un film de science-fiction tiré du jeu sur ordinateurs du même nom, est intéressant pour une seule raison: IL Y A A PEU PRÊS UNE RÉFÉRENCE GAIE PAR MINUTE.
Premièrement, l'acteur principal joué par le super-cute Freddie Prince Jr. vaut milles films pornos vus en Fast Forward. C'est l'histoire de la Terre en 2654 qui va se faire envahir par une flotte ennemie d'une race de monstres hideux. Notre joli héros Blair et ses joyeux gais lurons vont sauver la terre.
On apprend que Blair est différent des autres, hon pas vrai, et que c'est génétique son affaire, hon à quoi ca ressemble ca. Ca fait de lui un demi-dieu supposément. Ensuite, il rencontre sa boss, une froide lesbienne qui pleure la mort de sa chum de fille et dont le numéro du rapier-fighter est 69. Seulement vers la fin va-t-elle succomber sans consommer pour le beau Blair.
Ensuite il y a le capitaine du porte-avions-sous-marins-vaisseau-de-ligne-de-l'espace qui regarde, nostalgique, la photo du passé avec un amant de l'époque bras dessus bras dessous. La scène ne dure qu'une seconde alors il faut etre attentif. Il se fait donner un signe de reconnaissance, qui est une bague, par le commodore-aventurier-agent-secret pour prouver que celui-ci fait bien partie de la "gang", mais de quelle "gang" parle-t-on ici, on se le demande bien.
C'est sans compter les innombrables posters de beaux gars qui ornent les murs du mess des officiers, soyez attentifs aux petits détails. Et l'amitié très particulière de Blair et son chum de gars un peu fofolle sur les bords, à la fin il le tiendra dans ses bras, tout en sang après lui avoir sauvé la vie, que c'est cute!
Le gars du casting a du se faire du fun dans le bureau des auditions car tous les figurants, à majorité mâle sont absolument irrésistibles.
La morale de l'histoire est que le milieu gay est infiltré partout et que même à l'intérieur d'une histoire apparamment straight, nous sommes présents et mettons notre grain de sel un peu partout. Il faut être vigilant pour décéler ces signaux, s'en réjouir et comprendre qu'on est pas tous seuls dans notre 10% de minorités.
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Poor guy...
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J'ai vu un navet au Palace à 2,50$, le prix d'un navet. Ce navet de Wing Commander, un film de science-fiction tiré du jeu sur ordinateurs du même nom, est intéressant pour une seule raison: IL Y A A PEU PRÊS UNE RÉFÉRENCE GAIE PAR MINUTE.
Premièrement, l'acteur principal joué par le super-cute Freddie Prince Jr. vaut milles films pornos vus en Fast Forward. C'est l'histoire de la Terre en 2654 qui va se faire envahir par une flotte ennemie d'une race de monstres hideux. Notre joli héros Blair et ses joyeux gais lurons vont sauver la terre.
On apprend que Blair est différent des autres, hon pas vrai, et que c'est génétique son affaire, hon à quoi ca ressemble ca. Ca fait de lui un demi-dieu supposément. Ensuite, il rencontre sa boss, une froide lesbienne qui pleure la mort de sa chum de fille et dont le numéro du rapier-fighter est 69. Seulement vers la fin va-t-elle succomber sans consommer pour le beau Blair.
Ensuite il y a le capitaine du porte-avions-sous-marins-vaisseau-de-ligne-de-l'espace qui regarde, nostalgique, la photo du passé avec un amant de l'époque bras dessus bras dessous. La scène ne dure qu'une seconde alors il faut etre attentif. Il se fait donner un signe de reconnaissance, qui est une bague, par le commodore-aventurier-agent-secret pour prouver que celui-ci fait bien partie de la "gang", mais de quelle "gang" parle-t-on ici, on se le demande bien.
C'est sans compter les innombrables posters de beaux gars qui ornent les murs du mess des officiers, soyez attentifs aux petits détails. Et l'amitié très particulière de Blair et son chum de gars un peu fofolle sur les bords, à la fin il le tiendra dans ses bras, tout en sang après lui avoir sauvé la vie, que c'est cute!
Le gars du casting a du se faire du fun dans le bureau des auditions car tous les figurants, à majorité mâle sont absolument irrésistibles.
La morale de l'histoire est que le milieu gay est infiltré partout et que même à l'intérieur d'une histoire apparamment straight, nous sommes présents et mettons notre grain de sel un peu partout. Il faut être vigilant pour décéler ces signaux, s'en réjouir et comprendre qu'on est pas tous seuls dans notre 10% de minorités.
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Poor guy...